10 bonnes raisons de visiter la Polynésie française

Parce que c’est un rêve. Et qu’il faut se donner une chance de réaliser ses rêves

Qui n’a pas rêvé devant des images de Tahitiennes, de publicités vantant les mérites de ces îles enchanteresses ? De Bougainville à Pierre Loti, de Marlon Brando à Joe Dassin, de Paul Gauguin à Jacques Brel, tant de célébrités ont rendu hommage à la Polynésie, et ce, quelle que soit la forme d’expression de leur talent artistique. Il y a sans doute peu de pays où le rêve est dépassé par la réalité. Mais la Polynésie est un de ces pays dont on ne ressort pas indemne. On en rêve longtemps. On fantasme son arrivée, et on en reparle longtemps après.

Ce pays des superlatifs n’est pas une utopie. Il existe vraiment. Et vous en prenez le chemin en parcourant ces pages.  

Parce qu’ici la Nature est un temple vivant

Dans les îles hautes, celles volcaniques, qui ont des montagnes, comme Bora Bora, Tahiti ou Moorea ou aux Marquises, les paysages terrestres offrent une panoplie de balades, de randonnées, de découvertes de points de vue sur les lagons tout autant que des excursions plus énergiques (Mont Aorai à Tahiti par exemple). La faune et la flore sont celles des tropiques, donc forcément pleines de découvertes et de surprises.

Parce qu’ici le Bleu est plus bleu

Les bleus se confondent dans un sublime camaïeu : vert pâle lagunaire, azur d’un ciel parsemé de nuages effilochés, bleu Pacifique enivrant, émeraudes étoilées sur des motus de Robinson, aigue-marine sombre du large, violine des profondeurs, topaze des oha, ces chenaux qui font office de petits couloirs entre l’océan et le lagon, saphir transparent des bordures ensablées, topaze des passes tourmentées et turquoise des récifs affleurant la surface.

Les toiles de Claude Monet sont peut-être les seules à évoquer la diversité des coloris que la Nature a été capable de produire. Ce ne sont pas cinquante nuances de bleu qui existent, mais mille. A minima.

Parce que le plongeur est sûr de voir des requins

Dans beaucoup d’endroits du monde, la présence des animaux terrestres ou sous-marins est soumise aux contraintes et aux sempiternelles réserves « l’océan n’est pas un zoo, on ne peut pas garantir la présence de tel ou tel animal ». En Polynésie, il est impossible de repartir sans avoir vu un requin. Leur présence est garantie à 100 %. Ils sont là, dans les passes, au bord des lagons, ou au large, ils vivent là, ils sont protégés depuis le 28 avril 2006.

Parce que l’accueil des Polynésiens est incomparable

Le sourire des mamas au marché de Papeete drapées dans leurs longues robes colorées (dites ‘’missionnaires’’), la gentillesse de ce peuple, sa gaieté, font partie intégrante du voyage en Polynésie, tout autant que les paysages.

Parce que la culturelle Polynésienne attire

Que ce soit l’art du tatouage, ou celui de ciseler des objets en bois, le tressage, la vannerie, les tapa, que ce soit la musique ou la danse… Le patrimoine maohi est lui aussi d’une richesse insoupçonnée.

Parce que le visiteur peut connaître le luxe d’un hôte privilégié

Dormir dans une chambre sur pilotis, observer les poissons évoluer sous le sol en verre de son bungalow, sauter de son ponton particulier pour piquer une tête au lever du soleil, ou se délasser dans un jacuzzi personnel à l’abri des regards le soir venu n’est pas un luxe inaccessible. Ici, c’est le standard de tout hôtel 5 étoiles.

Parce que le but de ce voyage en Océanie est de fêter un anniversaire, marquer un événement, construire des souvenirs inoubliables

Que ce soit en lune de miel, mariage, anniversaire ou pour célébrer une ode à la vie, l’amour ou l’amitié, la Polynésie française est l’option magique. Le romantisme des îles, la beauté des hôtels, le calme et la solitude des excursions, l’isolement dont on peut jouir sont incomparables. Ici, toute exigence peut être exaucée : dormir sur un motu Robinson, dîner sur la plage au son du tamure, ou faire griller une langouste fraîchement pêchée sur un feu de bois.

Parce que les plongées dans cette partie du Pacifique sud sont parmi les plus réputées au monde

Les passes de Rangiroa et de Fakarava ont tellement été encensées, que cela vaut la peine d’aller vérifier soi-même qu’elles sont aussi somptueuses que prétendu. La déception est impossible. La satisfaction sera au rendez-vous.

Parce qu’ici, on a une chance d’observer le rayon vert

Lorsque la transparence de l’air est telle qu’aucune brume ne vient humidifier l’air. Lorsque l’horizon est dégagé, sans un souffle de nuage. Lorsque le soleil dessine son disque rond au loin et tombe lentement dans l’Océan Pacifique, lorsqu’il n’est plus qu’un point d’aiguille sur une ligne horizontale, alors parfois apparaît le Rayon Vert décrit par Jules Verne en 1882. Dû à la réfraction de la lumière dans l'atmosphère, ce photométéore est rare. Mais il vaut la peine qu’on s’assoit sur le sable le soir, pendant des vacances en Polynésie et qu’on tente de l’apercevoir.